Historique du groupe
Tout a commencé dans l’ombre d’un masque. Des premiers murmures dans l’ombre à la renaissance d’une ère nouvelle.
Évolution de Sakar et des logos

Sakar 2018


Sakar 2020


Sakar 2022
2024 - Renaissance et retour aux sources
Cette phase de transition confirme le besoin de revenir aux bases du projet imaginé. L’idée de départ de Nothing But Real devait être reprise à son essence, celle où visuel et musique sont profondément connectés, chacun nourrissant l’autre.
L’arrivée de nouveaux musiciens apporte un souffle nouveau au groupe, renforçant l’équipe dans cette démarche artistique.
Du 19 mai au 24 mai 2024, une partie du nouveau line-up entre en studio pour enregistrer un nouveau projet.
Le 29 mai 2024 marque la fin d’une ère avec la séparation de Hanta et ouvre la voie à une renaissance artistique totale.
À suivre …
2023 - Nouvelles énergies
En décembre 2022, NOTHING BUT REAL connaît une nouvelle évolution avec la séparation d’Eghan (batteur). Il est remplacé au pied levé par Laurent, un habitué du studio DGD à Pantin, permettant au groupe de poursuivre quelques dates avant d’être remplacé par Emilio.
En mars 2023, Emilio rejoint NOTHING BUT REAL en tant que batteur officiel, apportant une nouvelle énergie à l’équipe et aidant à finaliser la mini-tournée.
En juillet 2023, le départ de Victor (bassiste), marque une nouvelle étape. Les dernières dates de la tournée se jouent alors avec une basse sur séquence, assurant le bon déroulement des concerts malgré ces ajustements.
2022 - Les premiers clips
L’univers de NOTHING BUT REAL s’étoffe progressivement à travers des clips qui introduisent les personnages clés et une mythologie autour de Sakar, l’avatar du groupe.
Le voyage commence par une introduction courte, The Arrival, qui en une minute pose les bases de l’arrivée de Sakar sur Terre. Ce clip, tourné dans le cadre impressionnant des Sables du Cul de Chien, sert de transition vers le clip principal, Snake Eyes. Dans ce dernier, les deux actrices Yannie et Vanessa incarnent les Snake Eyes, symboles de manipulation et de séduction.
Les deux clips sont liés à l’imagerie forte de la pochette du nouvel album, plongeant l’audience au cœur de l’univers de NBR.
Pour approfondir cet univers, une interlude intitulée The Symbols est réalisée. Elle introduit les symboles de pouvoir de Sakar, essentiels à son histoire et à son évolution. Cet interlude fait le pont vers Behind the Door, un clip centré sur le vilain Shadow, incarnation du mensonge. Tourné au studio Ollieship sur fond vert, Behind the Door connait des difficultés lors de sa production.
Malgré cela, le clip voit le jour et contribue à étoffer l’imaginaire complexe et intrigant de Nothing But Real.
2022 - Rencontre des créatures
Suite à la sortie de LOST IN THE WORLD en mars 2022, Nothing But Real s’embarque dans une série de concerts à travers la France. La tournée débute avec une release party à La Péniche Antipode, suivie de performances marquantes dans des lieux emblématiques comme le Bus Palladium, ainsi que dans des festivals tels que le Festival No Limit Cars N Bikes et le Festival de l’Oeil Glauque.
Le groupe se produit également au Covent Garden, au Black Shelter, à la Batterie de Guyancourt, et à la Black Sheep Tavern, consolidant leur présence sur scène.
L’occasion de projeter leur univers visuel sur scène voit le jour, puisque plusieurs salles le permettent, créant une expérience immersive. Ce début de show scénique annonce déjà l’ambition du groupe d’offrir bien plus qu’un simple concert, en mêlant narration, musique et projections.
2021 - RECORDING “Lost in the World”
En mai 2021, NOTHING BUT REAL se lance dans la préparation d’un deuxième album intitulé LOST IN THE WORLD. Ce prequel explore l’arrivée de Sakar sur Terre, marquant ainsi un nouveau chapitre dans l’univers visuel et musical du groupe.
Ce projet ambitieux voit le jour grâce à une campagne de crowdfunding, soutenue avec succès par une communauté fidèle. Cet album est l’occasion de ressusciter des morceaux imaginés bien avant la création du groupe, tels que « Here I Am » (2009) et « Lost in the World » (2013).
Musicalement, LOST IN THE WORLD fusionne des influences électro, pop et hip hop, tout en gardant l’essence rock qui définit le son unique de Nothing But Real. L’album est enregistré au studio Cream à La Ferté-sous-Jouarre avec Yohann François au mix et mastering.
Il poursuit l’expansion de l’univers visuel du groupe, explorant de nouvelles dimensions narratives tout en recherchant une identité sonore.
LOST IN THE WORLD sort le 25 mars 2022.
2020 - Pandémie et Line Up
Début 2020 marque une période de transition pour NOTHING BUT REAL. En janvier, le bassiste David quitte le groupe, ouvrant la voie à une restructuration de la formation.
Peu de temps après, le monde entier est plongé dans le confinement à cause de la pandémie de Covid-19. Malgré l’impossibilité de jouer en live, le groupe persévère et sort l’album NOTHING BUT REAL en autoproduction totale le 10 juillet 2020 bien accueilli par le public et les médias.
Durant cette phase de confinement, Tom et Eghan ne cessent de travailler sur de nouvelles compositions, renforçant la dynamique créative du groupe malgré les obstacles.
La recherche d’un nouveau bassiste aboutit finalement à l’arrivée de Victor, permettant au groupe d’enclencher la première évolution.
2019 - L'épi de mais et l'album éponyme
Le premier album éponyme de NOTHING BUT REAL prend forme avec des sessions d’enregistrement initiées en décembre 2018 chez Big Foot Studio en Bourgogne, orchestrées par Augustin. La partie instrumentale est capturée sans encombre, mais un contretemps inattendu impliquant un épi de maïs forçe le groupe à revoir ses plans pour les sessions de chant.
Courant 2019 le groupe enregistre une session live acoustique sur 3 nouveaux titres : My Daemon, From the inside et Is there anyone.
En janvier 2020, Nothing But Real reprend les enregistrements vocaux au studio Le Poisson Barbu à Paris, sous la direction de Romain. L’album est ensuite mixé par Susie et masterisé par Jean-Sébastien de Phase Mastering, finalisant ainsi un opus fondateur qui pose le son du groupe et lève le voile sur un univers.
2019 - Les premiers pas dans l’ombre
Le 1er janvier 2019, NOTHING BUT REAL dévoile son premier single, « Don’t You Know« , marquant ainsi le début de leur aventure musicale. Ce titre est rapidement suivi de « Noisy Mind« , sorti le 20 février 2019.
Ces morceaux posent les bases de l’univers unique du groupe, entre rock hybride et esthétique visuelle marquante.
Le 23 mars 2019, « Don’t You Know » prend vie à travers un clip en noir et blanc, tourné au studio DGD à Pantin. Ce clip, réalisé avec l’aide de Max de Salut les Vivants et Nicolas, introduit Shadow, le premier vilain de l’univers de NBR, incarnant le mensonge et la manipulation.
Cette entité sombre et énigmatique ouvre la voie à la mythologie du groupe, qui continuera de se développer à travers ses futurs projets.
2018 - Le premier enregistrement
Fin 2018, NOTHING BUT REAL franchi une première étape cruciale en entrant dans les studios Big Foot Studio, en Bourgogne, chez Augustin.
Ce moment marque le tout premier enregistrement officiel du groupe avec les singles « Don’t You Know » et « Noisy Mind. »
Ce recording secret, réalisé en toute discrétion, pose les bases sonores et l’identité du groupe. À cette époque, le groupe évolue avec son line-up originel (Hanta – Eghan – David), une combinaison de musiciens partageant la vision de Tom pour un projet qui mêle imagerie forte et musique hybride.
Ces premières sessions en Bourgogne sont essentielles pour affiner la direction artistique de NBR et lancer la dynamique qui mènera à la production d’œuvres plus complexes par la suite.
2018 - Des traits qui donnent vie
En 2018, l’univers de NOTHING BUT REAL commence à prendre forme visuellement grâce à la collaboration avec l’illustratrice Koaline Kra. Ensemble, Tom et Koaline créent le premier visuel marquant : la tête de Sakar, l’entité centrale de l’univers du groupe. Cette collaboration symbolise les débuts du mariage entre musique et iconographie chez NBR, alliant concept et esthétique visuelle.
Cependant, c’est à partir de novembre 2019 que le groupe prend un nouveau tournant avec l’arrivée de Flow, artiste du Chromatorium Music.
La vision artistique de Tom trouve un nouveau souffle à travers le style unique de Flow, qui réussit à sublimer les idées initiales et à leur donner une nouvelle dimension. Cette collaboration marque le début d’une amitié à distance, entre la Bretagne et la Bourgogne, et contribue à ancrer encore plus profondément l’identité visuelle de Nothing But Real.
2018 - Les premiers pas
En 2016-2017, après la fin d’un projet musical, Tom, créateur du groupe, ressent le besoin de créer quelque chose de radicalement différent. Il imagine un projet qui va bien au-delà de la musique, un univers narratif et visuel fort où chaque note et chaque image raconte une histoire. C’est ainsi que NOTHING BUT REAL voit le jour. Le nom « Nothing But Real » est né d’une réflexion autour de l’idée d’exister malgré tout, d’être « rien mais réel ». Une phrase simple mais évocatrice qui incarne parfaitement l’essence du projet. Très vite, le masque devient un élément central de l’identité du groupe. Plus qu’un simple déguisement, il symbolise la dualité entre lumière et ombre, et met en avant l’aspect narratif, permettant aux membres du groupe de rester anonymes pour mieux incarner les personnages de leur univers.
NOTHING BUT REAL, c’est aussi un hommage aux influences multiples : science-fiction, comics, cinéma, et pop culture. Ces sources d’inspiration se retrouvent dans l’univers du groupe, où se mêlent musique, visuels et une réflexion sur l’humanité et ses contradictions.